lundi 3 août 2015

Bien triste été

On a beau se dire que c'est comme ça, qu'on n'y peut rien, que vos souffrance à l'un comme à l'autre ont pris fin et que c'est mieux pour vous...
On a beau se répéter que la mort fait partie de la vie et qu'il n'y a rien d'autre à faire qu'accepter...

... il n'en reste pas moins que vous me manquez, l'un et l'autre.

Vos départs si proches, il faudra m'y habituer.
Votre absence, vos mots et vos regards, je ne vais pas les effacer.
Votre tendresse, je vais la garder.

Mais pour l'heure il me faut encore m'acclimater. M'adapter à votre absence. Continuer en sachant que vous n'êtes plus là physiquement, juste dans ma tête et dans mon coeur. Dans mes souvenirs et dans tout ce que nous avons vécu.

Maman,
Frérot,
Vous me manquez

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